FONDATION JACQUELINE AMIVI AKA
La situation humanitaire dans le monde aujourd’hui est particulièrement préoccupante; et le cas des pays en développement est nettement encore plus déplorable. Dans beaucoup de pays en Afrique, subsaharienne surtout, ou aussi en Asie et en certains endroits d’Europe ou d’Amérique, dans les pays comme le Soudan du sud, la Somalie ou le Yémen ou même le grand Nigeria, des millions de personnes n’arrivent pas à assouvir leur besoin élémentaire de trois repas par jour. Pendant ce temps, les soins de santé, l’accès à l’éducation, la prise en charge des femmes et des enfants, etc. sont devenus des luxes que très peu de sociétés s’offrent dans ces pays. Et c’est aussi le cas du Togo, où particulièrement dans un contexte d’une relance économique apparente ou livresque, la population côtoie la misère (70% de Togolais vivent en dessous du seuil de la pauvreté, selon l’ONU) et n’arrive pas à avoir le sourire (Le Togo classé dans les 10 derniers pays où la population est la plus triste au monde, classement mondial du bonheur 2016). Mais c’est une situation qui ne saurait persister. Plusieurs fils et filles du pays se sont déjà mobilisés.
Ne voulant pas rester en marge de cette course de l’histoire et animée par l’esprit patriotique avant tout et humaniste ensuite, une fille du Togo s’est muée en philanthrope, se préoccupant du bien-être de ses frères et sœurs. Et c’est l’histoire de la Fondation Jacqueline Amivi Aka (FJAA), qui porte le nom de son instigatrice.
Née en 2014, la FJAA s’est depuis, fixée pour but d’œuvrer à contribuer à un monde plus solidaire, plus humain où le bien-être personnel rime avec le bien-être de tous. Son champ d’intervention quoiqu’il s’appesantisse sur le Togo, va au-delà.
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